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Il n’y a pas d’âge pour cliquer !


« Sexa geek », « silver surfer », « silver geek » … Quel que soit le nom qu’on leur donne, les seniors connectés sont de plus en plus nombreux. Deux sur trois utilisent tous les jours leur smartphone, tablette ou ordinateur. Et pour de multiples bonnes raisons…


Pour se simplifier la vie

À moins d’avoir utilisé l’informatique dans leur vie professionnelle, les seniors ne sont pas toujours spontanément attirés par les écrans. C’est souvent après avoir reçu l’outil informatique en cadeau qu’ils se décident, bon gré mal gré, à s’y mettre…

Mais bien vite, l’intérêt d’Internet apparaît au quotidien : pour réserver des billets de train, rechercher l’adresse d’un restaurant ou des avis de consommateurs, vérifier une recette de cuisine ou même faire des rencontres… Tout devient simple comme un clic !


Pour garder le contact

Participer aux réseaux sociaux suscite toutefois davantage de réticence chez les plus âgés. Pudeur ou méfiance ? Ils préfèrent consulter les sites sans s’impliquer personnellement.

Quand ils franchissent le pas, c’est surtout pour échanger avec leurs proches : Facebook permet d’avoir des nouvelles sans être intrusif, Instagram peut offrir une galerie photos actualisée au jour le jour… Bien pratique pour voir grandir les petits-enfants qui vivent loin ! 


Pour apprendre, échanger et… rester dans le coup !

Au-delà de ces usages quotidiens et familiaux, tous les seniors le disent : être connecté fait se sentir « moins vieux ».Cette fenêtre ouverte sur le monde donne un accès à l’actualité plus actif qu’avec les médias traditionnels. Et à lui seul, l’apprentissage des nouvelles technologies entretient la vivacité d’esprit.

Certains vont plus loin en créant leur propre site ou blog pour partager une passion ou simplement donner de petites astuces pour bien vivre avec son âge (voir par exemple lesnanasseniors.com ou bellesetbiendansvotrepeau.fr).Alors, à chacun son degré de technophilie mais pour rester dans l’air du temps et rompre l’isolement, une seule solution : connexion !


 

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En partenariat avec :

Caroline Faure


Écrire son histoire : pourquoi pas vous ?


De plus en plus d’anonymes décident de mettre par écrit l’histoire de leur vie ou celle d’un parent. Mémoires, saga familiale, fragments biographiques illustrés de photos d’archives… les formats varient mais la préparation d’un tel ouvrage est toujours un cadeau fait à ses proches, favorisant l’échange entre les générations. Et pour le rédiger, une plume peut vous aider…


« J’aimerais que mes petits-enfants s’y retrouvent parmi leurs ancêtres…  j’ai bien commencé un arbre généalogique, mais je ne sais pas quoi en faire… ». Quand François rencontre Caroline, écrivain conseil, c’est avant tout pour offrir « un vrai livre » à son fils Mathieu, 30 ans, et à son petit-fils Tristan, 5 ans, un livre qu’ils pourront conserver longtemps.

Il souhaite que ces petits Franciliens sachent qui étaient leurs grands-parents bretons, américains, auvergnats, provençaux, qui ont connu les deux guerres mondiales, la reconstruction de la France, l’émancipation des femmes…

Écrire ses mémoires ou la vie de sa famille, c’est partir à la rencontre des générations précédentes mais c’est aussi tisser ensemble la petite et la grande Histoire.

Pour les personnes qui préfèrent ne pas trop se mettre en avant, le livre peut aussi être l’occasion de raconter un métier aujourd’hui disparu, un village ou un quartier, à travers une histoire personnelle.

Dans tous les cas, une relation de confiance s’établit avec l’écrivain qui sait écouter autant qu’écrire. La première rencontre, gratuite et sans engagement, permet de définir le projet, de choisir la forme la mieux adaptée, la fréquence des entretiens et le coût. Ensuite, le projet prend forme au fil des mois, jusqu’à la fabrication du livre.

Et à la joie de le voir entre les mains de ceux qu’on aime !


Ecrivain conseil, un vrai métier

Depuis 2014, Caroline Faure, fondatrice du cabinet Des mots pour vous dire… (http://carolinefaure-ecrivain.com), met sa plume au service des familles et des entreprises qui souhaitent transmettre leur mémoire par écrit.


Qui décide d’écrire ses mémoires, ou l’histoire de sa famille ?

Il n’y a pas de profil type ! Il peut s’agir de jeunes adultes qui souhaitent offrir à leur parents ou grands-parents de faire cet ouvrage, ou bien raconter eux-mêmes leur propres années « d’apprentissage »… Il y a aussi, bien sûr, des personnes plus âgées qui veulent laisser un témoignage pour ceux qui les suivront.

Certains ont des vies très mouvementées, pleines de voyages et de rencontres, d’autres mènent au contraire la leur très simplement. Toutes les vies sont intéressantes, pourvu qu’on les regarde assez attentivement ! Toutes témoignent de leurs temps.


Comment devient-on écrivain conseil ?

Dans mon cas, la passion pour l’écriture remonte au temps de mes études. Je suis ancienne élève de l’École normale supérieure, diplômée en sciences humaines et sociales, et de Sciences Po à Paris. J’ai commencé ma carrière professionnelle dans la fonction publique mais j’ai vite eu envie d’un travail plus indépendant et qui me permette de vivre de ce que j’aime vraiment faire : écrire pour autrui. J’ai donc créé mon propre cabinet.


Comment se passe la préparation d’un tel ouvrage ?

Le plus important, c’est d’être à l’écoute de ce que souhaite la personne. C’est elle qui parle ; moi, je dois trouver les mots et le ton qui lui ressemblent. Parfois, il y a des archives (photos, lettres, journaux intimes…) parfois non.

En fonction du volume souhaité, il faut compter une dizaine d’heures d’entretiens que j’enregistre et qui me servent ensuite de matériau pour écrire. Je demande toujours à rencontrer la personne dans son cadre de vie, pour m’imprégner de ce qui l’entoure, du contexte culturel, social, familial.


Pourquoi écrit-on sur soi ?

Replonger dans ses souvenirs peut contribuer à donner du sens au parcours d’une vie. C’est prendre le temps de faire un « arrêt sur image » sur l’essentiel.

Parfois, les recherches permettent de retrouver des personnes qui ont compté, ou de dénouer des souvenirs douloureux.

Dans tous les cas, écrire permet de mieux se connaître.

Et dans notre monde de plus en plus numérique, le livre est un objet familier, concret, qui reste et qu’on se transmet...


Pour plus d'informations rendez-vous sur : 

http://carolinefaure-ecrivain.com


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