Si plus de 12 millions d’enfants font leur rentrée scolaire, un grand nombre de grands-parents sont également concernés. 40 % s’occupent de leurs petits enfants chaque semaine, 70% occasionnellement.


Accompagnez-les moralement.

Mais, attention, ils sont « dé.bor.dés ». Ne vous attendez pas à de longues conversations téléphoniques. Montrez plutôt votre soutien par un petit courrier, courriel ou sms pour les plus grands.


Vous êtes investis du rôle de  « nounou ».

De plus en plus de grands-parents sont à la sortie des écoles et s’occupent des enfants jusqu’au retour des parents.

Etablissez des règles avec ces derniers (type de goûter, télé ou pas…). Prévoyez un « sas de décompression », un temps libre avant d’attaquer les devoirs. Ne cherchez pas à vous transformer en professeur. Les méthodes ont changé et les conflits sont inévitables.

Mais, posez aussi vos limites, sans culpabilité. Vos petits enfants ne doivent pas non plus devenir le centre de votre vie. N’oubliez pas de garder du temps pour vous, pour vos propres activités.


Grands-parents du mercredi ou des vacances.

Être avec ses grands-parents, c’est aussi, et surtout faire des choses que l’on ne fait pas forcément avec ses parents. Racontez des histoires, vos propres souvenirs de votre scolarité. Demandez-leur leur programme d’histoire par exemple pour trouver des expos, des pièces de théâtre. Cuisinez ensemble…

Le rôle des grands-parents est d’ouvrir les plus jeunes à l’imaginaire alors que parents les ancrent plus dans la réalité.


  

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