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Des pistes pour bien vivre sa retraite


Rassurant sur la santé et le moral des 58-68 ans, le baromètre annuel « Santé-vous bien ! » permet de repèrer les comportements qui vont de pair avec une retraite réussie.


Bien anticipée, la retraite est mieux appréciée

Les personnes sondées en sont conscientes : préparer sa retraite permet de mieux la vivre. 53% d’entre elles (8 points de plus qu’en 2015) ont commencé cette préparation entre 3 ans et 6 mois avant l’échéance. Pour ces prévoyants, quand la santé est au rendez-vous, le temps libéré marque alors le début d’une seconde jeunesse.

Ceux qui l’ont moins bien anticipée sont plus réservés (47%) sur cette période. Peu engagés dans des activités de loisirs, ils peinent à entretenir des relations sociales. Toutefois, seul un quart d’entre eux dit s’ennuyer plus qu’avant la retraite (26%) ou estiment qu’elle se passe mal (12%).


 Des occupations en partie inattendues

Pour les « prévoyants », les activités de loisirs sont la seconde préoccupation, après le calcul du montant de la pension et la souscription à une complémentaire santé.

Mais une fois à la retraite, les occupations ne sont pas toujours celles imaginées

Comme prévu, les activités manuelles (2e occupation) et la lecture (3e) sont bien présentes mais seuls 45% des retraités voyagent (6e occupation) alors que 69% pensaient le faire. Le temps passé sur Internet (1e occupation) est généralement supérieur à ce qui avait été anticipé.


Juste « Le temps de vivre » …

Pour bien profiter de sa retraite, il faut évidemment soigner sa forme physique : les seniors y travaillent : 76% disent soigner davantage leur alimentation et 50% pratiquer un sport. Et cela paye : 7 sur 10 se sentent 5 à 15 ans plus jeunes que leur âge réel !

Quant aux activités sociales, elles ne sont pas forcément liées à un engagement associatif ou à la continuation d’une activité marchande, comme beaucoup l’avaient pensé.

Le plus souvent, elles viennent tout simplement du fait pouvoir prendre son temps, pour vivre plus sereinement des relations familiales et amicales multipliées et enrichies.


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En partenariat avec :

Caroline Faure


Écrire son histoire : pourquoi pas vous ?


De plus en plus d’anonymes décident de mettre par écrit l’histoire de leur vie ou celle d’un parent. Mémoires, saga familiale, fragments biographiques illustrés de photos d’archives… les formats varient mais la préparation d’un tel ouvrage est toujours un cadeau fait à ses proches, favorisant l’échange entre les générations. Et pour le rédiger, une plume peut vous aider…


« J’aimerais que mes petits-enfants s’y retrouvent parmi leurs ancêtres…  j’ai bien commencé un arbre généalogique, mais je ne sais pas quoi en faire… ». Quand François rencontre Caroline, écrivain conseil, c’est avant tout pour offrir « un vrai livre » à son fils Mathieu, 30 ans, et à son petit-fils Tristan, 5 ans, un livre qu’ils pourront conserver longtemps.

Il souhaite que ces petits Franciliens sachent qui étaient leurs grands-parents bretons, américains, auvergnats, provençaux, qui ont connu les deux guerres mondiales, la reconstruction de la France, l’émancipation des femmes…

Écrire ses mémoires ou la vie de sa famille, c’est partir à la rencontre des générations précédentes mais c’est aussi tisser ensemble la petite et la grande Histoire.

Pour les personnes qui préfèrent ne pas trop se mettre en avant, le livre peut aussi être l’occasion de raconter un métier aujourd’hui disparu, un village ou un quartier, à travers une histoire personnelle.

Dans tous les cas, une relation de confiance s’établit avec l’écrivain qui sait écouter autant qu’écrire. La première rencontre, gratuite et sans engagement, permet de définir le projet, de choisir la forme la mieux adaptée, la fréquence des entretiens et le coût. Ensuite, le projet prend forme au fil des mois, jusqu’à la fabrication du livre.

Et à la joie de le voir entre les mains de ceux qu’on aime !


Ecrivain conseil, un vrai métier

Depuis 2014, Caroline Faure, fondatrice du cabinet Des mots pour vous dire… (http://carolinefaure-ecrivain.com), met sa plume au service des familles et des entreprises qui souhaitent transmettre leur mémoire par écrit.


Qui décide d’écrire ses mémoires, ou l’histoire de sa famille ?

Il n’y a pas de profil type ! Il peut s’agir de jeunes adultes qui souhaitent offrir à leur parents ou grands-parents de faire cet ouvrage, ou bien raconter eux-mêmes leur propres années « d’apprentissage »… Il y a aussi, bien sûr, des personnes plus âgées qui veulent laisser un témoignage pour ceux qui les suivront.

Certains ont des vies très mouvementées, pleines de voyages et de rencontres, d’autres mènent au contraire la leur très simplement. Toutes les vies sont intéressantes, pourvu qu’on les regarde assez attentivement ! Toutes témoignent de leurs temps.


Comment devient-on écrivain conseil ?

Dans mon cas, la passion pour l’écriture remonte au temps de mes études. Je suis ancienne élève de l’École normale supérieure, diplômée en sciences humaines et sociales, et de Sciences Po à Paris. J’ai commencé ma carrière professionnelle dans la fonction publique mais j’ai vite eu envie d’un travail plus indépendant et qui me permette de vivre de ce que j’aime vraiment faire : écrire pour autrui. J’ai donc créé mon propre cabinet.


Comment se passe la préparation d’un tel ouvrage ?

Le plus important, c’est d’être à l’écoute de ce que souhaite la personne. C’est elle qui parle ; moi, je dois trouver les mots et le ton qui lui ressemblent. Parfois, il y a des archives (photos, lettres, journaux intimes…) parfois non.

En fonction du volume souhaité, il faut compter une dizaine d’heures d’entretiens que j’enregistre et qui me servent ensuite de matériau pour écrire. Je demande toujours à rencontrer la personne dans son cadre de vie, pour m’imprégner de ce qui l’entoure, du contexte culturel, social, familial.


Pourquoi écrit-on sur soi ?

Replonger dans ses souvenirs peut contribuer à donner du sens au parcours d’une vie. C’est prendre le temps de faire un « arrêt sur image » sur l’essentiel.

Parfois, les recherches permettent de retrouver des personnes qui ont compté, ou de dénouer des souvenirs douloureux.

Dans tous les cas, écrire permet de mieux se connaître.

Et dans notre monde de plus en plus numérique, le livre est un objet familier, concret, qui reste et qu’on se transmet...


Pour plus d'informations rendez-vous sur : 

http://carolinefaure-ecrivain.com


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