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Jouer en famille, bien plus qu’un passe-temps !


Jouer en famille crée des instants chaleureux et des échanges spontanés entre générations. Du simple jeu de carte au Monopoly en passant par le Scrabble, il y en a pour tous les goûts et à moindre coût.


 

Un divertissement à portée de tous

Le dimanche après-midi traîne en longueur, il fait mauvais dehors et les petits commencent à s’impatienter dans le salon ? C’est le moment de sortir un jeu pour faire passer le temps et mettre tout le monde autour de la table !

Les ados rechignent d’abord un peu, les anciens prétextent qu’ils sont trop fatigués mais très vite, tout le monde s’y met, et de bon cœur.

Pourquoi ? Précisément parce qu’il n’y a pas d’enjeu, que chacun peut participer sans connaissances particulières et qu’il n’y a rien de mieux pour oublier les préoccupations quotidiennes, du dos qui fait mal aux révisions du bac qui n’avancent pas…

 

Bon pour les neurones

Au-delà de l’aspect ludique, jouer stimule l’attention et la mémoire, ce qui est bénéfique pour tous, de l’éveil des plus jeunes à l’entretien de la vivacité intellectuelle des plus anciens.

Pour les plus petits, c’est aussi l’occasion d’apprendre ou de pratiquer les règles de la vie en société… Ne pas tricher, ne pas être mauvais perdant, ne pas s’énerver… et suivre en cela le modèle des aînés, censés donner l’exemple — en espérant que ce soit bien le cas !

Le plus souvent, l’amusement est vite au rendez-vous et quand on sait qu’une minute de fou-rire offre autant de bienfait que 45 minutes de relaxation, on n’hésite plus à commencer la partie !

 

L’occasion de moments de complicité partagés

De manière spontanée et naturelle, jouer en famille donne surtout l’occasion d’échanges entre générations qui n’auraient peut-être pas eu lieu sans cela.

Certains jeux ont d’ailleurs été spécialement conçus pour favoriser ces moments complices entre les âges. C’est le cas de Deux minutes ensemble ! conçu par des thérapeutes et fondé sur les bienfaits de la psychologie positive : les joueurs tirent des cartes leur demandant de raconter un souvenir, d’imaginer une situation ou de décrire une expérience : « une chanson que tu aimes bien chanter » « une bêtise de ton enfance », « les habits du futur » … De quoi livrer un peu de soi-même et transmettre une mémoire, l’air de rien, entre deux coups de dés... Jouer, c’est partager !


 

 

 

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En partenariat avec :

Caroline Faure


Écrire son histoire : pourquoi pas vous ?


De plus en plus d’anonymes décident de mettre par écrit l’histoire de leur vie ou celle d’un parent. Mémoires, saga familiale, fragments biographiques illustrés de photos d’archives… les formats varient mais la préparation d’un tel ouvrage est toujours un cadeau fait à ses proches, favorisant l’échange entre les générations. Et pour le rédiger, une plume peut vous aider…


« J’aimerais que mes petits-enfants s’y retrouvent parmi leurs ancêtres…  j’ai bien commencé un arbre généalogique, mais je ne sais pas quoi en faire… ». Quand François rencontre Caroline, écrivain conseil, c’est avant tout pour offrir « un vrai livre » à son fils Mathieu, 30 ans, et à son petit-fils Tristan, 5 ans, un livre qu’ils pourront conserver longtemps.

Il souhaite que ces petits Franciliens sachent qui étaient leurs grands-parents bretons, américains, auvergnats, provençaux, qui ont connu les deux guerres mondiales, la reconstruction de la France, l’émancipation des femmes…

Écrire ses mémoires ou la vie de sa famille, c’est partir à la rencontre des générations précédentes mais c’est aussi tisser ensemble la petite et la grande Histoire.

Pour les personnes qui préfèrent ne pas trop se mettre en avant, le livre peut aussi être l’occasion de raconter un métier aujourd’hui disparu, un village ou un quartier, à travers une histoire personnelle.

Dans tous les cas, une relation de confiance s’établit avec l’écrivain qui sait écouter autant qu’écrire. La première rencontre, gratuite et sans engagement, permet de définir le projet, de choisir la forme la mieux adaptée, la fréquence des entretiens et le coût. Ensuite, le projet prend forme au fil des mois, jusqu’à la fabrication du livre.

Et à la joie de le voir entre les mains de ceux qu’on aime !


Ecrivain conseil, un vrai métier

Depuis 2014, Caroline Faure, fondatrice du cabinet Des mots pour vous dire… (http://carolinefaure-ecrivain.com), met sa plume au service des familles et des entreprises qui souhaitent transmettre leur mémoire par écrit.


Qui décide d’écrire ses mémoires, ou l’histoire de sa famille ?

Il n’y a pas de profil type ! Il peut s’agir de jeunes adultes qui souhaitent offrir à leur parents ou grands-parents de faire cet ouvrage, ou bien raconter eux-mêmes leur propres années « d’apprentissage »… Il y a aussi, bien sûr, des personnes plus âgées qui veulent laisser un témoignage pour ceux qui les suivront.

Certains ont des vies très mouvementées, pleines de voyages et de rencontres, d’autres mènent au contraire la leur très simplement. Toutes les vies sont intéressantes, pourvu qu’on les regarde assez attentivement ! Toutes témoignent de leurs temps.


Comment devient-on écrivain conseil ?

Dans mon cas, la passion pour l’écriture remonte au temps de mes études. Je suis ancienne élève de l’École normale supérieure, diplômée en sciences humaines et sociales, et de Sciences Po à Paris. J’ai commencé ma carrière professionnelle dans la fonction publique mais j’ai vite eu envie d’un travail plus indépendant et qui me permette de vivre de ce que j’aime vraiment faire : écrire pour autrui. J’ai donc créé mon propre cabinet.


Comment se passe la préparation d’un tel ouvrage ?

Le plus important, c’est d’être à l’écoute de ce que souhaite la personne. C’est elle qui parle ; moi, je dois trouver les mots et le ton qui lui ressemblent. Parfois, il y a des archives (photos, lettres, journaux intimes…) parfois non.

En fonction du volume souhaité, il faut compter une dizaine d’heures d’entretiens que j’enregistre et qui me servent ensuite de matériau pour écrire. Je demande toujours à rencontrer la personne dans son cadre de vie, pour m’imprégner de ce qui l’entoure, du contexte culturel, social, familial.


Pourquoi écrit-on sur soi ?

Replonger dans ses souvenirs peut contribuer à donner du sens au parcours d’une vie. C’est prendre le temps de faire un « arrêt sur image » sur l’essentiel.

Parfois, les recherches permettent de retrouver des personnes qui ont compté, ou de dénouer des souvenirs douloureux.

Dans tous les cas, écrire permet de mieux se connaître.

Et dans notre monde de plus en plus numérique, le livre est un objet familier, concret, qui reste et qu’on se transmet...


Pour plus d'informations rendez-vous sur : 

http://carolinefaure-ecrivain.com


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