Accueil > Les plus > Entre générations > Perte d’autonomie : comment garder son animal de compagnie le plus longtemps possible ?

Perte d’autonomie : comment garder son animal de compagnie le plus longtemps possible ?


Pour les personnes âgées isolées, la présence affectueuse d’un animal familier rythme le quotidien. D’où un grand désarroi quand s’occuper de lui devient difficile. Voici quelques pistes pour retarder le plus possible le moment de la séparation.


 Quand faut-il s’inquiéter ?

Quand l’entretien de son compagnon devient trop épuisant, le bien-être de l’animal est compromis et son maître souffre encore plus de le sentir malheureux qu’il s’en estime responsable.

La sécurité du maître peut aussi être mise involontairement en danger par un animal trop turbulent : bien des mauvaises chutes sont hélas causées par un compagnon à l’énergie trop démonstrative.

 

Se faire aider pour pourvoir le garder

Dans un premier temps, se faire aider à son domicile est la solution idéale pour conserver son animal près de soi : un proche ou un voisin peuvent peut-être donner un coup de main régulièrement.

À défaut, pourquoi ne pas déposer une annonce chez le boulanger ? Il y aura sûrement une personne qui, pour un petit complément de revenu, se chargera de l’entretien de l’animal.

À condition de disposer d’un certain budget, des services marchands de dog ou cat-sitters peuvent aussi officier à votre place (par exemple : https://www.animaute.fr).

 

Le laisser entre de bonnes mains

En maison de retraite, les animaux de compagnie sont rarement acceptés. Quand la séparation est inéluctable, le mieux est de laisser son animal à des proches qu’il connaît déjà et qui pourront parfois rendre des visites en sa compagnie.

À défaut, les refuges (SPA, Croc-blanc ou petites associations locales) recueillent les animaux. Pour les plus âgés qui trouvent moins facilement preneur à l’adoption, il existe des maisons de retraite pour animaux comme celles proposées par la Fondation assistance animaux (http://www.fondationassistanceauxanimaux.org/maisons-retraite-animaux/).

Ces refuges peuvent être visités au préalable et il est important de le faire :  anticiper le plus possible la séparation et bien la préparer rendra ce moment un peu moins douloureux, pour l’animal comme pour son maître.


Imprimer
En partenariat avec :

Caroline Faure


Écrire son histoire : pourquoi pas vous ?


De plus en plus d’anonymes décident de mettre par écrit l’histoire de leur vie ou celle d’un parent. Mémoires, saga familiale, fragments biographiques illustrés de photos d’archives… les formats varient mais la préparation d’un tel ouvrage est toujours un cadeau fait à ses proches, favorisant l’échange entre les générations. Et pour le rédiger, une plume peut vous aider…


« J’aimerais que mes petits-enfants s’y retrouvent parmi leurs ancêtres…  j’ai bien commencé un arbre généalogique, mais je ne sais pas quoi en faire… ». Quand François rencontre Caroline, écrivain conseil, c’est avant tout pour offrir « un vrai livre » à son fils Mathieu, 30 ans, et à son petit-fils Tristan, 5 ans, un livre qu’ils pourront conserver longtemps.

Il souhaite que ces petits Franciliens sachent qui étaient leurs grands-parents bretons, américains, auvergnats, provençaux, qui ont connu les deux guerres mondiales, la reconstruction de la France, l’émancipation des femmes…

Écrire ses mémoires ou la vie de sa famille, c’est partir à la rencontre des générations précédentes mais c’est aussi tisser ensemble la petite et la grande Histoire.

Pour les personnes qui préfèrent ne pas trop se mettre en avant, le livre peut aussi être l’occasion de raconter un métier aujourd’hui disparu, un village ou un quartier, à travers une histoire personnelle.

Dans tous les cas, une relation de confiance s’établit avec l’écrivain qui sait écouter autant qu’écrire. La première rencontre, gratuite et sans engagement, permet de définir le projet, de choisir la forme la mieux adaptée, la fréquence des entretiens et le coût. Ensuite, le projet prend forme au fil des mois, jusqu’à la fabrication du livre.

Et à la joie de le voir entre les mains de ceux qu’on aime !


Ecrivain conseil, un vrai métier

Depuis 2014, Caroline Faure, fondatrice du cabinet Des mots pour vous dire… (http://carolinefaure-ecrivain.com), met sa plume au service des familles et des entreprises qui souhaitent transmettre leur mémoire par écrit.


Qui décide d’écrire ses mémoires, ou l’histoire de sa famille ?

Il n’y a pas de profil type ! Il peut s’agir de jeunes adultes qui souhaitent offrir à leur parents ou grands-parents de faire cet ouvrage, ou bien raconter eux-mêmes leur propres années « d’apprentissage »… Il y a aussi, bien sûr, des personnes plus âgées qui veulent laisser un témoignage pour ceux qui les suivront.

Certains ont des vies très mouvementées, pleines de voyages et de rencontres, d’autres mènent au contraire la leur très simplement. Toutes les vies sont intéressantes, pourvu qu’on les regarde assez attentivement ! Toutes témoignent de leurs temps.


Comment devient-on écrivain conseil ?

Dans mon cas, la passion pour l’écriture remonte au temps de mes études. Je suis ancienne élève de l’École normale supérieure, diplômée en sciences humaines et sociales, et de Sciences Po à Paris. J’ai commencé ma carrière professionnelle dans la fonction publique mais j’ai vite eu envie d’un travail plus indépendant et qui me permette de vivre de ce que j’aime vraiment faire : écrire pour autrui. J’ai donc créé mon propre cabinet.


Comment se passe la préparation d’un tel ouvrage ?

Le plus important, c’est d’être à l’écoute de ce que souhaite la personne. C’est elle qui parle ; moi, je dois trouver les mots et le ton qui lui ressemblent. Parfois, il y a des archives (photos, lettres, journaux intimes…) parfois non.

En fonction du volume souhaité, il faut compter une dizaine d’heures d’entretiens que j’enregistre et qui me servent ensuite de matériau pour écrire. Je demande toujours à rencontrer la personne dans son cadre de vie, pour m’imprégner de ce qui l’entoure, du contexte culturel, social, familial.


Pourquoi écrit-on sur soi ?

Replonger dans ses souvenirs peut contribuer à donner du sens au parcours d’une vie. C’est prendre le temps de faire un « arrêt sur image » sur l’essentiel.

Parfois, les recherches permettent de retrouver des personnes qui ont compté, ou de dénouer des souvenirs douloureux.

Dans tous les cas, écrire permet de mieux se connaître.

Et dans notre monde de plus en plus numérique, le livre est un objet familier, concret, qui reste et qu’on se transmet...


Pour plus d'informations rendez-vous sur : 

http://carolinefaure-ecrivain.com


DÉCOUVRIR L'OFFRE EXCLUSIVE RÉSERVÉE AUX ADHÉRENTS ANPERE 


Il y a « bien plus de solidarité entre les générations » qu’on ne veut bien le reconnaître

Article précédent

Il y a « bien plus de solidarité entre les générations » qu’on ne veut bien le reconnaître

Stratégie « bien vieillir » : les principales mesures

Article suivant

Stratégie « bien vieillir » : les principales mesures